Wednesday, March 16, 2011

Les "vrais" hackers

Je vais essayer ici de clarifier le terme "hacker" tel que vu par les hackers eux-mêmes dans la communauté et autres domaines d'activités.

Premièrement, petit lien cinématographique: : Le terme hacker fut utilisé dans plusieurs films à succès comme "Swordfish" avec John Travolta, Hugh Jackman et Halle Berry. Dans ce film, une équipe secret de rebelle
terroriste recrute the meilleur hacker au monde (qui essai de rester blanc comme neige après avoir passé des années en prison pour avoir hacker auparavant) afin de voler des milliards de dollars au gouvernement américain. Le terme hacker est largement utilisé dans ce film.

La liste de film à succès sur ce sujet est longue. Voici selon le site "TechSource" les 10 meilleurs films de hacking:
10.
Swordfish
9. Track Down (aka Hackers 2)
8. Antitrust
7. Sneakers
6. Die Hard 4: Live Free or Die Hard
5.
The Net
4. Hackers
3. Tron
2. The Matrix (Trilogy)
1. WarGames

Tous ces films font références au terme "hacker" et non "cracker".

Maintenant, autre distinction. La plupart des "vrais" hackers, ou ceux considérés comme les "patenteux" de ce monde, n'aiment pas ce terme puisque selon eux, ce terme est péjoratif et disent que nous devrions utiliser "cracker" plutôt pour définir les gens mal intentionné. Et bien, il existe déjà deux termes distincts pour définir les bons des méchants. En anglais, on utilise les termes "white hat" pour définir les bons, et "black hat" pour les méchants.

Selon hackeralert.com, un black hat, aussi appelé "cracker" (et oui, cracker aussi!), est quelqu'un qui utilise ses compétences avec une intention criminelle. Quelques exemples seraient, de "hacker" des comptes de banques de client afin de transférer l'argent dans son propre compte ou d'entrer frauduleusement sur le réseau privé d'une compagnie, voler l'information (Intellectual Property information) et la revendre à des compétiteurs.


En ce qui concerne les "white hat", ces derniers utilisent leurs habiletés et connaissances afin de se protéger contre les attaquants. Ils offrent donc leurs services à des entreprises, des organisations publiques ou gouvernementales.

Dans une certaine mesure, tous les hackers (white et black) sont un peu "patenteux". J'ai l'image de hacker se fabriquant une antenne Wifi à l'aide d'une bouteille de croustille "Pringle" afin de hacker un réseau sans-fil à une grande distance. (http://www.youtube.com/watch?v=betR3vejzg4)

Donc, ce n'est que question d'interprétation, et dans les deux cas, les techniques sont les mêmes, ce n'est que la mentalité qui change.

Eric D.



Tuesday, March 15, 2011

Le "Open Source": Pour toujours gratuit?

Voici un commentaire sur le billet de Philippe Scoffoni à savoir si le "open source" sera toujours gratuit. C'est une excellente question qui mérite réflexion.

Donc, la première question à ce poser, est-ce que les logiciels "open source" sont vraiment gratuit. Selon la définition du GNU, les termes sont que la License open source permet une distribution libre du logiciel. Cela n'exclus pas le droit de le vendre ou de faire payer pour des contrats de service ou support (ce qui est aussi très payant et souvent nécessaire pour la plupart des entreprises qui n'ont pas toute l'expertise "in house"), ce qui est moins nécessaire pour les logiciels comme ceux de Microsoft qui sont tous très bien connu par la majorité des gens d'informatiques.

De plus, il faut faire la nuance entre logiciel librement distribué et gratuit. Lorsque l'on dit qu'il est gratuit cela veut en fait dire qu’il n’a rien coûté (création). C’est bien évidement pas le cas, car les gens doivent passer des heures à les programmer.

Maintenant que la guerre est commencée, une autre question se pose? Pourquoi, si c'est gratuit, les entreprises (qui pourraient facilement sauver des millions justes en coût de License) n’embarquent pas dans le bateau du open source (open office, Linux pour les "desktop", Linux pour les serveurs, etc)? Je suis convaincu que la réponse n'est pas seulement le coût, mais je peux vous affirmer que la majorité des entreprises vont longuement étudier le dossier s'ils peuvent sauver 10 millions juste pour des licences de Microsoft Office. Et pourtant, il risque encore de rester avec Microsoft, et je crois qu'une des raisons à cela c'est qu'ils ont évalué que même avec le open source, il y a un prix à payer...formation, déploiement, support et autres.

Eric D.

Monday, March 14, 2011

Réplique: Web 2.0, une menace pour la sécurité des entreprises

Voici une réplique au billet de M.Daho-Bachir sur le web 2.0 et la menace pour les entreprises.

Il est bien évident que la façon dont tout ce déroule aujourd'hui, la sécurité laisse à désirer. Par contre, de bannir complètement le web 2.0 risquerait de nuire au entreprise qui en déciderait ainsi. Étant aujourd'hui considéré comme inévitable, la plus grande majorité des entreprises l'utilisent et je vois mal comment retourner en arrière!

Maintenant, il est clair que la sécurité doit faire partie intégrante de la philosophie des entreprises qui désirent s'y joindre. Il n'est plus seulement question de mitigation mais bien d'éducation et de priorité. Les entreprises ont presque tous comprissent que la sécurité était un mal nécessaire, alors nous voyons des antivirus, anti pourriel, pare-feu, et autres bidules de sécurité, mais malheureusement, ces derniers ne sont pas infaillible.

Alors comment s'assurer que nos utilisateurs n’iront pas cliquer sur un lien "malhonnête" en utilisant Facebook sur le réseau de la compagnie? L'éducation et la sensibilisation (Training and Awareness). La plupart des utilisateurs ne savent pas la gravité et les conséquences de tel geste banal, alors il faut les sensibiliser et les éduquer.

Il existe plusieurs excellente formation dans le domaine comme le SANS Institute qui est utilisé par le DHS (Department of Homeland Security) des États-Unis pour la formation interne de leurs usagers. Les formations s'étendent à des sujets que vous n'oseriez même pas imaginer. Alors, à vos livres tous, ne faite pas l'erreur de cliquer sur un lien donc vous ignorer les conséquences!

Eric D.



http://dmourad.wordpress.com/2010/10/30/web-2-0-une-menace-pour-la-securite-des-entreprises/

L'appartenance à une communauté Internet

L'appartenance à une communauté sur ou avec Internet:

Selon une enquête de Statistique Canada sur l'appartenance au communauté des Canadiens, il semblerait que ces sentiments sont plus répandus chez les personnes vivant ou ayant vécu dans une région pendant de longues périodes.

D’autres informations révèlent que de nombreux utilisateurs d’Internet profitent de leur connexion pour devenir plus actifs dans leur collectivité, ce qui est une bonne chose en soi. J'ai vu plusieurs communautés utiliser Internet pour recruter des gens ayant besoin de sentiment d'appartenance ou juste pour se désennuyiez. Par exemple, le Club Optimiste (voir http://www.facebook.com/pages/Club-Optimiste-Magog-Orford/112453195473472 ) regroupe un nombre impressionnant de membre qui, de nos jours, utilise Internet et les réseaux sociaux afin de parler de leur communauté.

Les résultats de l’Enquête canadienne sur l’utilisation d’Internet de Statistique Canada montrent que 44,2 % des Canadiens qui utilisaient Internet à leur domicile le faisaient pour se renseigner sur des événements communautaires. Cette activité était particulièrement répandue chez les utilisateurs d’Internet à la maison titulaires d’un diplôme universitaire et résidant dans des régions urbaines au Canada.

Donc, l'appartenance à une communauté Internet passe par les réseaux sociaux et autres qui peut s'avérer un tremplin pour la vie dans une ou dans "la vraie" communauté!

Eric D.

Gérer votre réputation sur Internet: Pas chose facile!

Gérer sa réputation sur Internet:

À prime à bord, il semblerait que nous n'ayons pas à nous soucier de "gérer" notre réputation sur Internet, mais lisez ces quelques exemples et vous serez convaincu du contraire!

Publié sur le blogue de Frédéric Desjardins, Directeur d'Hegemony Media, voici quelques exemples de problème de réputation pouvant être nuisible: Deux employés d’une pizzeria ont téléchargé des vidéos sur Youtube montrant des pratiques écœurantes lors de la préparation de pizzas. Ces scènes ont été filmées discrètement à l’aide de leurs caméras de téléphone cellulaire. Le propriétaire du restaurant a géré la crise en postant une vidéo contenant la réponse officielle du restaurant sur Youtube.

Il y a 16 ans, un cadre haut placé d’une société française œuvrant à Montréal a commis une erreur nuisible qui fut rendue publique. Il a passé des années à regretter sa décision et a finalement abandonné sa profession. Il a trouvé un nouveau travail honnête et, en 2008, a accepté un poste prometteur au sein d’une société connue à New York. En 2009, un collègue a fouillé au sujet de son passé sur le moteur de recherche Google et a trouvé les renseignements négatifs. Le cadre a été congédié sur-le-champ lorsque son employeur a appris ses antécédents.

En 2009 également, une petite entreprise de la ville de Québec s’est rendu compte qu’un concurrent publiait des commentaires négatifs anonymes sur un blogue qu’il avait créé et qui était relié au domaine d’activité dans lequel œuvrait cette entreprise. Le jour suivant, son blogue se classait en deuxième sur Yahoo! lorsqu’on recherchait la compagnie. Prendre le temps de répondre à ces commentaires fut une perte de temps et d’argent considérable pour les responsables de cette entreprise.

Ces exemples montrent que ces gens ou les gestionnaires d'entreprises ne prennent pas au sérieux la puissance d'Internet sur votre réputation. Quand quelqu'un fabrique à tort votre identité et trouble votre réputation, c'est une chose, mais quand c'est vraiment votre réputation qui est problématique et vous suit partout, et bien à qui la faute? Il nous faut des années à se bâtir notre réputation alors il est impératif d'y faire attention.

Comme le dit si bien Frédéric Desjardins, ont met des années à bâtir notre réputation et elle peut parfois être détruites en quelques heures. Un seul commentaire négatif sur Internet et c'est parti| La calomnie, la rumeur, la désinformation, la manipulation ou la propagande ont toujours existé. Mais aujourd’hui, la vitesse de propagation du message ainsi que sa portée sont décuplés.

Donc voici ce qu'il suggère et ce que je recommande aussi:

Faire le suivi : repérer qui parle de vous sur Internet, de votre personnel, de votre marque de commerce, de vos produits, de vos services, de tout ce qui vous concerne. Si on parle de vous, vous devez le savoir au moment où cela arrive.

Pour ce faire, une petite recherche sur Google vous sera très révélatrice! Pour plus de détail et d'autres idées, allez lire son billet sur le sujet: http://hegemony.ca/2011/01/14/rss1/

Réparer : si, lors de votre suivi, vous avez trouvé de l’information négative ou un blogueur mécontent, vous voudrez savoir quoi faire pour corriger la situation. Si vous vous y prenez de la mauvaise manière, la situation peut empirer.

Gérer : vous devez développer une stratégie faisant en sorte que ceux qui parlent en mal de vous sur Internet deviennent moins nuisibles. C’est la clé du succès sur le Web.

Eric D.

Vol d'identité: des faux profils Facebook de vedettes québécoises fermés

Voici une réponse à un blogue de François Charron (animateur à TVA et autres) portant sur de faux profils Facebook de vedettes québécoises.

François Charron a mis au jour, par le billet de son site web (francoischarron.com) une liste de faux profils de vedettes québécoises sur Facebook.

À l'aide d'autres personnes, ils ont réussi à faire fermer ces profils. L'auteur de ces faux profils serait un jeune mineur qui se serait servit de ces profils pour mousser sa propre popularité sur Internet. Dans la liste des vedettes en question, ont retrouvent: "Dominique Michel, Pénélope McQuade, le Banquier et des participants d'Occupation Double...

La plupart de ces artistes n'avaient même pas de page officiel Facebook et même que dans certains cas, les vedettes n'utilisaient pas ou peu Internet.

Ce qui est surprenant, c'est que les réseaux sociaux ne valident pas les personnes sauf dans certains cas extrême comme pour le président des États-Unis, sinon, nous simple citoyen et mortel, somme confronté à subir avec peu ou pas d'option.

Comme François le mentionne, "il est vraiment trop facile pour n'importe qui d'ouvrir un compte avec n'importe quel nom pour ensuite voler une photo sur un site officiel d'artiste ou d'organisation". Ce qui revient à dire que nous devons être extrêmement prudent avec l'information que nous distribuons ou publions sur Internet; une vulgaire photo, son nom complet et le tour est joué. Notre identité ne nous appartient plus.

François rajoute que: "Logiquement, il devrait être illégal de se faire passer pour quelqu'un que nous ne sommes pas. Point à la ligne". Oui, mais à moins de se faire "hacker", pourquoi nos informations se retrouvent-elles si facilement sur Internet? Je peux comprendre pour les vedettes mais sinon? Combien de fois j'ai vu sur le profil Facebook de mes amis (en passant ma photo de profil n'est qu'une image, essayé donc de m'usurper mon identité voir?), mentionner leurs adresses pour un party et ensuite quelques jours ou semaines plus tard, dire qu'ils seront en vacance de telle date à telle date et que personne ne sera à la maison...et ben oui monsieur, la prochaine information?: la clé de la porte est sous le pot de fleur devant la maison et le code du système d'alarme est 1-2-3-4...!

Donc, oui une loi plus adaptée, mais bordel, faite attention! N'est-ce pas valable partout, d'user de gros bon sens?

Eric D. (ah oui, une autre raison de ne pas ajouter mon nom de famille au complet!)


http://www.francoischarron.com/-/a3I4rgv3pm/menu/

Sunday, March 13, 2011

Panorama des médias sociaux

Panorama des médias sociaux

Wow, comment fait-on pour rester à jour avec tous ces médias sociaux. Qui donc utilisent tous ces sites et services? Et bien, il y en a, c'est ça le pire!

Selon Fred Cavazza, il n'existe pas d'outil unique pour tout faire. Et bien qu’attendons-nous pour le créer? Qui voudrait-être le prochain Mark Zuckerberg (euh, pour ceux qui ne savent pas, aller louer le film "le réseau social"?

Donc, pour l'instant le conseil de Fred est de ce concentrer sur les méga-plateforme, c'est-à-dire, 2 ou 3 services ou sites offrant la majorité des fonctionnalités désirées et celles qui ont le plus de chance de demeurer active et d'avoir du succès...humm, est-ce que Facebook risque d'avoir du succès? J'en doute, mais je vous laisse être votre propre juge. Comme Fred le dit si bien, il y a eu un avant Facebook et il y aura un après!

Eric D.

Les relations humaines et internet: pas toujours bon ménage

Quoi de mieux que de lire un bon blogue sur Facebook ou Internet en général et les relations humaines. C'est ce qui vient de m'arriver. Un blog écrit par un dénommé "big" (en plus il me semble que je le connais, puisque j'appelle moi-même tous mes amis "big" ("ça va big?", "ben voyons donc big?", "tu viens avec nous big"?, vous voyez le genre!)).

Donc, je disais que son article est très intéressant. Je suis d'accord avec tout ces propos. Tout sans exception. Je croyais être le seul à penser ainsi et je le gardais pour moi sans le partager, mais j'ai décidé de m'ouvrir et de m'exprimer! D'autant plus que personne ne me connait, je suis totalement anonyme ici!

Big parle par exemple de cercle social fermé, malgré les nombreux chats et jeux en ligne avec des milliers d'amis virtuel, d'une personnalité qui n'est plus vraiment la sienne et même de crise existentielle. Il voulait absolument voir des gens. "Pas de leur parler via un chat ou de jouer avec eux en ligne, mais bien de les voir en personne, de les côtoyer".

Il mentionne qu'il est très difficile de se refaire une personnalité lorsque celle que nous avons depuis des mois voir des années est seulement derrière un écran. Ce qui est le plus marquant, c'est quand il parle du fait que, et je cite :" Le problème est que trop de gens réduisent leur communications avec leurs amis, et même parfois avec leur conjoints, à de vulgaires textos ou commentaires sur Facebook. Oui, l’information peut se transmettre rapidement. Non, nous ne pouvons pas entretenir un lien d’amitié de cette façon. Je ne m’étendrai pas sur les possibilités qu’offre Internet au niveau social, mais je vais simplement dire que nous en avons abusé, et en grand. Quand je vois un ami inscrire sur Facebook qu’il vient d’avoir une mauvaise nouvelle, et que sa copine lui demande via Facebook en commentaire comment il va, je ne comprends tout simplement pas. L’idée de l’appeler, ou même d’aller le voir en personne ne lui a pas traversé l’esprit? Je ne comprends pas. Vous vivez ensemble et vous vous parlez via Internet, et en plus pour des sujets semblables? Ça m’échappe totalement". Et voilà! le message est lancé.

Encore une fois, la prochaine phrase, j'aurais facilement pu l'écrire moi-même : " Oui, j’utilise Facebook. Non, je n’y vais pas aux 2 heures pour voir ce que tous font de leur vie, car j’ai la mienne à vivre. Aussi, je ne ressens pas le besoin de partager mon quotidien avec 500 personnes à toutes les heures non plus, je le fais avec les gens qui me sont proches, et en personne. Je trouve réellement que les relations sont devenues beaucoup trop superficielles, et on le ressent également dans les relations amoureuses."

Superficielles, oui, c'est ça le problème! Comment établir des relations amoureuses saines en n'utilisant qu'Internet (chat)? Bordel, sortez. Ok, pour les premiers échanges, c'est bien, mais après 4-5 heures de discussion par clavier, un p'tit verre de vin sur une terrasse, ça ne vous tente pas...?

Toutes les questions abordées par Big sont légitimes et mérites que l'ont s'y attardent. J'aime bien mon ordi, mais avant qu'on me le fasse embrasser, je vous jure que je vais consulter!

Éric D.

http://www.selonbig.com/index.php/2010/05/10/les-relations-humaines-et-internet-pas-toujours-bon-menage/

Réponse à : "L'internet: Le mode de pensée et les compétences"

Voici un petit commentaire sur le billet de Daniel Barsalou sur le mode de pensée et les compétences sur Internet.

http://websocial-inf6107.blogspot.com/2011/02/linternet-le-mode-de-pensee-et-les.html

Il est absolument vrai que tous et chacun peuvent participer à ajouter et modifier l'information sur les sites comme Wikipédia ou autres. Dans ce sens, l'information devra toujours être revérifiée avant d'être utilisée. Comme le disait si bien M.Barsalou, les professeurs d'écoles de demain (bien que je dirais d'aujourd'hui, car je sais que ce genre de site est déjà utilisés dans nos écoles comme références) prendrons la peine d'aller vérifier eux-mêmes ou bien d'avertir leurs étudiants de s'assurer que le contenu de Wikipéda est en effet véridique. Je pourrais à la limite dire que cette liberté d'expression électronique donnera un sens critique aux jeunes qui saurant que ce n'est pas parce que l'information se trouvent sur Internet, qu'elle est forcément vrai! Ils apprendront par conséquent à toujours revérifier l'information et pourront aussi questionner sur le sujet. Cela en fera sans doute de meilleurs journalistes (pour ceux qui se dirigent vers ce métier!).

Technorati et moi!

Technorati est un engin de recherche internet dédié aux blogues. En 2008, il indexait déjà plus de 112.8 million de blogues et plus de 250 million de tag reliés aux médias sociaux. Le nom vient des mots "Technology" et "literati" qui supposent une notion d'intelligence technologique et "d'intellectualisme".

Malgré que ce site à déjà gagné des prix pour sa technologie innovatrice, Technorati recherche par "tags" que les auteurs placent sur leurs sites. Ces tags aident à faire la catégorisation des résultats de recherchent avec les récents résultats affichés en premier.

En faisant quelques recherches sur des blogues que j'utilise fréquemment et que je sais pertinemment qu'ils sont fiables et fréquentés par plusieurs milliers voir millions de personne, Technorati n'a retourné aucun résultat, à ma plus grande déception. Je me premièrement dit que ce devait être moi et mes critères de recherches qui n'étaient pas adéquat pour l'engin de recherche ou l'algorithme du site, mais une petite recherche personnelle sur le sujet m'a prouvé que je n'étais pas si "illettré" dans le domaine!

En 2006, Debi Jones indiquait que Technorati ne tenait pas compte des blogues de MySpace. Ce qui amena plusieurs personnes à se questionner sur l'utilité de classement de ce site.

Ensuite, il y a eu le scandale des "faux blogues" et Edelman. Technorati proclama que ces "faux blogues" étaient valident et les classaient donc en priorité.

En 2007, Andrew Orlowski écrivait que le site suggérait seulement des images plutôt que des résultats sur les blogues eux-mêmes. Il va même juste qu'à dire que le site n'a jamais vraiment fonctionné!

En 2009, le site décide de ne plus indexer des sites autres que ceux en anglais! Depuis, ce re-design, il y a eu plusieurs plaintes sur le site Technorati, ce qui me fait douter grandement sur la valeur réelle de ce service!

Eric D.

La confiance sur le web

En réponse au billet de Louis David Martineau, voici quelques informations complémentaires.

http://ldtino.blogspot.com/2010/08/la-confiance-sur-le-web.html

Premièrement, je vous invites à voir la présentation de Dick Hardt intitulée "Identity 2.0". Non seulement, celle-ci parle du sujet de confiance et identité, mais elle est très "rigolote"! En partant du fait qu'il est très difficile sur le web de savoir qui est qui, comment peut-on faire confiance. Dans son billet, Louis David Martineau mentionne que les navigateurs modernes possèdent des fonctionnalités permettant de savoir si un site est sécuritaire ou non. C'est en effet le cas. On parle ici de certificat digital vérifié par un fournisseur de service du genre Verisign ou autres. Malheureusement, il est très facile de reproduire ce genre de certificat. Dans certain cas, les certificats n'étant pas valide, le navigateur va afficher un message d'erreur. Il est prouvé que dans 90% des cas, les utilisateurs vont accepter le message en cliquant sur "ok" sans avoir lu les information. Un autre 8% vont lire le message. Les certificats invalides étant généralement fait par des professionels, ressemblent énormément (pas toujours mais souvent) au certificat validé des organisations ou sites visités. Il est donc pratiquement impossible pour monsieur ou madame tous le monde de savoir si c'est un vrai ou un faux. Donc, il reste un 2 % qui soit connaissent la tactique, ou savent exactement de quoi il s'agit et vont décliner le certificat.

J'ai moi-même fait l'expérience d'un de mes "supposé ami" Facebook qui m'envoyait des messages avec des liens bizarres. Il venait de ce faire "hacker" son compte et le malfaisant s'en donnait à coeur joie avec sa liste de contact. Laisse moi vous dire que la majorité de ces amis ce sont fait prendre au jeu et ont été infestés de "backdoor" et autre trojan du genre. Un petit formatage en vue....

Donc, qui est qui? À vous de me le dire!

Eric D.

Saturday, March 12, 2011

La propagation virale -Pourquoi pas?

La propagation virale - Pourquoi pas?

Tous le monde veut sa place sur la toile, alors pourquoi ne pas utiliser la propagation virale pour faire connaître votre entreprise ou votre produit!

Malgré le fait que plusieurs croient à tors que c'est facile et accessible à tous, ce faire connaître sur Internet demande des efforts, à moins que ce ne soit que pour "vos niaiseries", dans ce cas, cela peut s'avérer plus facile et sans risque. Et pour certain, cette optique demeure aussi intéressante. Voici pourquoi et comment:

Les vidéos virales:

  • Créer une vidéo de Teasing courte que vous publierez sur Youtube ensuite une seconde avec le contenu réel que vous publierez uniquement sur votre site web (blog ou autre peu importe)
  • Créer une vidéo sur une niche particulière que vous traitez mais sous format de questions réponses, typiquement les questions peuvent être posé par une voix off ou en sous titrage, et vous répondrez à ces questions sur cette vidéo.
  • Une variante de questions réponses et de poser vous même les questions et en laissant aux internautes quelques secondes pour penser aux réponses, n hésitez pas à meubler pendant l’interlude en leur donnant des indices. Pour les questions réponses, vous pouvez vous inspirez soit de votre expérience personnelle soit en faisant une recherche sur Google par exemple.
  • Organisez un concours avec des cadeaux intéressants et annoncez le sur la vidéo avec un lien en fin de vidéo vers le site du concours .
  • Créer une vidéo drôle, parodique,Un lipsync ou encore un lipdub (exemple ci dessous avec une version coréenne du Numa numa Star des lipsync (http://www.youtube.com/watch?v=V1M-sWWonjo&feature=player_embedded)
Eric D.


http://www.conseilsmarketing.fr/e-marketing/comment-utiliser-youtube-pour-faire-connaitre-son-entreprise

L'éducation à l'ère du Web 2.0

Voici un petit commentaire complémentaire sur le billet d'Émilie St-Jacques du 20 Février dernier.

http://emiliestj.wordpress.com/2011/02/20/leducation-a-lere-du-web-2-0/

Depuis l'avénement du Web 2.0 et de la formation à distance (merci à la Teluq!), j'ai vu énormément "d'élèves, illétrés numériques" revenir sur les bancs d'écoles qui, sinon, auraient complètement décrocher si leur seul option aurait été l'éducation tradionnelle.

Le web 2.0 attire une nouvelle clientèle qui pour plusieurs raisons par exemple les difficultés d'apprentissages (TDAH, problème de concentration simple, problème de socialisation ou autres), les problèmes de déplacement (que ce soit du à l'éloignement, les problèmes monétaires, etc...) ont maintenant accès à des outils de formation par le Web 2.0 qui n'étaient pas disponible auparavant.

Lorsque fait dans les règles de l'art, je n'ai absolument rien contre cela, et même j'embarque! Nous savons tous que l'informatique et Internet accrochent les jeunes, alors pourquoi ne pas s'en servir contre le "décrochage".

Eric D.

L'origine des blogues

Les Origines

Avant de devenir populaire, les communautés internet utilisaient d'autres formes de service en ligne comme les BBS (Bulletin Board Systems), les Usenet, et autres services de ce genre. Ensuite, les forums Internet ont introduit les conversations avec des liens ou connections entre les messages.

Les blogues modernes ont évolués à partir des journals "intimes" en ligne, où les gens écrivaient sur leurs vies personnelles.

Avec la venue des outils plus spécialisés et plus facile d'utilisation, la publication de blogue n'est plus restreinte au "expert" mais à n'importe qui ou presque. On retrouve maintenant une quantité impressionnante de sites dédiés à la mise en page et l'hébergement de blogues et parfois même, gratuitement.

Après un départ lent, les blogues ont gagnés rapidement en popularité. Depuis quelques années, les blogues font partis intégrante des nouvelles de dernières heures que ce soit au niveau politique, social ou autre. Certains événements ont aider à augmenter la crédibilité des blogues et maintenant, ils ont autant sinon plus d'attention que les médias considérés comme "tradionnel".

Eric D.

Friday, March 11, 2011

Web 2.0 - Responsabilité Éditoriale

La responsabilité éditoriale des auteurs sur le Web 2.0 concernant le contenu principal de leur site et devenue depuis quelques années sujet de discussion très intense. Dans certain cas, ce n'est pas seulement les propos de l'auteur puisque certain laisse leur invité contribuer au contenu, ce qui élargi la responsabilité à un nombre beaucoup plus grand, mais c'est un choix!
Ainsi, les gens deviennent acteur et auteur sur le net instantanément sans pour autant avoir tout ce qu'il faut pour émettre leur propos. Oui, je sais, les blogues servent aussi à émettrent des opinions personnelles, mais encore là, doivent-ils suivrent cette "responsabilité éditoriale"?

Bien évidemment, nous ne sommes pas obligé de lire leurs interventions, mais ...


Cette immense liberté, malgré toutes les bonnes intentions de son auteur, qui peut méconnaître les règles élémentaires de la propriété intellectuelle et de la responsabilité éditoriale, peut s'avérer très nuisible et les ennuis peuvent vite arriver s'il croit encore au vieux mythe erroné du "vide juridique" sur Internet. Il existe quelques règles fondammentales à suivre comme, "ce n'est pas parce qu'un texte est disponible sur le Web que tout le monde peut le reproduire".


Il est aussi impossible de reprendre textuellement les propos d'un internaute – sauf courte citation dûment référencée, pareil comme les livres ou autres documents, pour les publier ailleurs, sans l'accord préalable.


Il existe, tout comme dans le monde du "open source" informatique (voir GNU, Linux, etc...), des auteurs qui décide de mettre leur oeuvre en accès libre. "Il autorise donc toute personne qui le souhaite à utiliser leur œuvre sous certaines conditions de respect de tout ou partie du droit moral". L'auteur va alors toujours exiger de voir son nom mentionné au côté de son œuvre. Dans certain cas même, la modification est permise!


Dépendamment des pays, il existe des lois protégeant les auteurs mais aussi les rendants totalement responsablent (que ce soit au niveau personnelle ou du contenu que leur employeur décide de publier, par exemple le responsable du contenu du site web de la compagnie qui doit approuver le contenu en tout tant avant qu'il soit publier).


Les rigueurs du droit s'appliquent à tout l'Internet. Dès qu'on produit quoi que ce soit sur Internet, il importe donc de respecter les droits d'auteur et droits voisins et de se conformer aux exigences de la responsabilité éditoriale.

Vient ensuite la responsabilité juridique des blogueurs versus ceux des journalistes. Certains vont dire que le bloggeur à beaucoup plus de responsabilité et voici les arguments:
-Le journaliste est juridiquement irresponsable de son propos, au moins en partie, car il n’est pas son propre éditeur : c’est le directeur de la publication qui est l’éditeur, donc le responsable.
-Pour ce qui est de la diffamation par exemple, le journaliste n’est jamais poursuivi à titre d’auteur de l’infraction, mais seulement comme complice, et son éditeur ne peut se désolidariser de lui.
-Le blogueur, lui, est son propre éditeur. il assume SEUL la responsabilité éditoriale de ses propos.
- la responsabilité des blogueurs vis à vis de leur audience est bien plus importante aussi que celle des journalistes.
-Le journaliste n’est pas directement responsable devant son audience. Le journal est une oeuvre collective. Il y a une séparation des tâches entre rédaction, distribution, promotion et marketing. La responsabilité vis à vis de l’audience est ainsi partagée, et au bout du compte diluée.
-Le blogueur est seul face à son audience, et toutes les tâches sont concentrées sur lui : produire ses billets, leur trouver une audience, en faciliter la diffusion, en assurer la promotion, gérer le retour de l’audience et l’interactivité.
- l’appel à l’éthique des journalistes est un écran du fumée dans la mesure où il n’existe aucun contrôle ni aucune sanction du respect de cette éthique journalistique, qui n’a jamais été autre chose qu’une simple déclaration d’intention.

Intéressant de voir les autres aspects de la responsabilité éditoriale du Web 2.0, n'est-ce pas?

Eric D.